“Aujourd’hui, alors qu’il n’y a de respect que pour les gagneurs, les battants, les mordants, les investisseurs, nous revendiquons le droit de foirer, de délirer sans «gagner», nous revendiquons le droit de perdre. Et donc de nous marrer.” Yves Hirschfeld conseiller artistique du label ledroitdeperdre.com
La petite histoire
Prenez trois potes et un parrain. Un soir anodin de mai 2009, une copine des potes demande à l’un des potes « Tu ferais quoi s’il ne te restait plus que 24 heures à vivre ? ». Immédiatement, un autre pote s’exclame : « Mais c’est quoi cette question de merde ? » et suggère de créer un jeu avec un florilège de questions éponymes… Le lendemain, les deux potes obtiennent du parrain un financement pour 3000 exemplaires, puis appellent un troisième pote pour créer ce site internet et tenter la folle aventure.
Eh bien, crois-moi, crois-moi pas, le 1er juillet 2009, « Questions de merde » a vu le jour en même temps que ledroitdeperdre.com. Paradoxalement touchés par le succès (déjà 15.000 jeux vendus), notre label continue de tracer sa route en faisant confiance à l’échec des règles de jeu traditionnelles. Chez nous, point de diktat de la gagne, qui n’a jamais rendu tout le monde heureux. Les jeux, c’est simple, nous les aimons quand vous pouvez y jouer tout de suite, quand ils font appel à toutes les dimensions de votre imagination et quand vous pouvez aussi inventer vos règles !
Bienvenue et avis aux amateurs de ce site : vous pouvez nous suivre sur Facebook et sur le blog. Sans vous abreuver de mises à jour, nous essayons régulièrement de vous tenir au courant de l’essentiel.
Souriez, vous êtes sur un Internet libre et sur le site d’un éditeur indépendant qui travaille…
Pour un changement de paradigme
Face aux dérives de la culture olympique occidentale (toujours plus haut, plus loin, plus fou), qui glorifie ses vainqueurs et écrase la majorité malheureuse, tout en creusant sans vergogne la dette de l’Etat, Le Droit de perdre s’insurge et souhaite orienter la société vers une nouvelle vision du jeu, où les règles sont relégués au second plan, où le bien-se-marrer se substitue au « bien gagner ».
Par amour du paradoxe
Se parler, communiquer, rire ensemble et se dire des bêtises… C’est sain, c’est très sain ! Et parfois ces bêtises ne sont pas si bêtes que ça. Elles peuvent même se transformer en vérités puissantes et infaillibles. Puisant son inspiration dans le surréalisme, l’OuLiPo, le théâtre de l’absurde… Le Droit de perdre cultive l’art de jouer avec les mots et prône une provocation intelligente, qui mène autant à des délires insensés qu’à de stupéfiants moments de sincérité.
Vous voulez en savoir plus ? Contactez-nous ! info@ledroitdeperdre.com